Vérité et réconciliation

« Nous demandons pardon pour l’existence de ces écoles elles-mêmes, en reconnaissant que l’abus le plus flagrant n’était pas ce qui est arrivé au sein de ces écoles, mais le fait lui-même que ces écoles aient été mises en place…, que le lieu originel inhérent au sein des familles ait été violé comme ligne de conduite, que les enfants aient été arrachés à leurs communautés naturelles, et que, implicitement et explicitement, ces écoles aient opéré à partir de la prémisse que les langues, les traditions et les pratiques religieuses européennes étaient supérieures aux langues, aux traditions et aux pratiques religieuses autochtones […] »
(Conférence oblate du Canada, 1991)

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